Date : 7 Novembre 2005
Lieu : Santa Cruz, Californie
Médium : F.A.B.

Je suis le Bouddha.

Je sais que vous avez été curieux à mon sujet. J’ai été béatement heureux. Bien sûr, je n’étais pas un dieu, mais un mortel. J’ai vécu ma vie comme vous le faites – fidèle à moi-même. J’ai trouvé beaucoup de réconfort et de consolation dans les doctrines que j’ai découvertes.

J’ai observé que tant de personnes qui ont suivi mes doctrines ont également trouvé cette félicité et ce bonheur.

Vous êtes curieux de savoir ce que je pense de Dieu. Eh bien, je savais que la vie continuerait après la mort. Je n’ai pas eu, comme vous, un désir et un besoin brûlant d’entrer en relation avec un Être suprême. Ainsi, ma vie ici a suivi un chemin différent de celui de quelqu’un comme vous. Je me suis dit que si je pouvais trouver le bonheur et la paix sans cet Être suprême, à quoi me servirait-il ? Je sais que cela vous semble presque blasphématoire, et pourtant il y a tant d’esprits qui ressentent cela.

En tout cas, il y a une puissante armée d’esprits bienveillants qui travaillent à travers le plan terrestre pour apporter la paix et l’amour à la Terre. C’est la bonté qui compte, pas la théologie.

Je vous remercie d’avoir reçu ce message. Je vous souhaite de réussir dans toutes vos entreprises.

Sincèrement, Le Bouddha.

Ce message est tout à fait en accord avec le commentaire d’Hélène Padgett selon lequel le Bouddha était à ce moment-là (1er Août 1916) encore dans la Sixième Sphère. Aussi incroyable que cela puisse paraître, que l’un des plus grands maîtres spirituels du monde puisse avoir une progression limitée, c’est la preuve ultime du libre arbitre. La progression n’est pas difficile, mais si l’on ne désire pas se rapprocher du Père, cette progression s’arrête et stagne.

Lien vers le message originel : https://new-birth.net/contemporary-messages/messages-sorted-year/messages-2005/the-buddha-is-very-happy-fab-7-sept-2005/