Jean commente la capacité de prophétie du médium et dit qu’aucun esprit n’a le don de prophétie, comme l’appellent les mortels, découlant d’un pouvoir surnaturel ou omniscient, et il formule des propos d’encouragement pour M. Padgett.

7 Janvier 1917 Reçu par James Padgett Washington D.C. C’est moi, Jean. J’étais avec vous ce soir et j’ai entendu les prétendues prophéties, et je me suis intéressé au grand nombre de personnes présentes, écoutant attentivement les paroles de l’oratrice (Mme Kates). Pour vous, l’élément le plus significatif de la réunion devrait être le grand […]

Jésus explique la grande importance d’être en bonne condition afin de pouvoir recevoir les nombreuses vérités qui doivent encore être écrites pendant que M. Padgett est encore ici.

Le 7 Mars 1920 Reçu par James Padgett Washington D.C. C’est moi, Jésus. Permettez-moi d’écrire quelques lignes car je vois que vous êtes désireux d’avoir de mes nouvelles et d’obtenir l’encouragement qui découle toujours de mes communications. J’ai été avec vous ce soir, comme lors de nombreuses nuits passées, avec le désir de vous écrire […]

Jean – Nie l’expiation par procuration. Si les hommes avaient la foi semblable à celle des Apôtres, la guérison et les soi-disant miracles existeraient aujourd’hui.

12 Septembre 1915 Reçu par James Padgett Washington D.C. C’est moi, Jean. Je n’écris pas Saint Jean, parce que je ne suis pas appelé par ce nom dans les cieux spirituels, et je vous ai assez souvent écrit maintenant, pour que vous m’identifiiez lorsque j’écris simplement Jean. Eh bien, j’ai entendu ce que le Maître […]

A évolué vers une nouvelle sphère spirituelle et cherche maintenant plus d’aide pour faire avancer son progrès spirituel. Et l’a reçu avec l’aide de Jésus.

Le 20 Février 1915. Reçu par James Padgett Washington D. C. C’est moi, ton vieil ami, George Riddle. Je suis très heureux ce soir et je suis heureux que tu ailles beaucoup mieux. Tu as eu des moments plutôt difficiles, et cela m’a un peu rappelé la souffrance que j’ai souvent enduré lorsque je vivais […]